En ballade, suis partis avec toi,
Durant une journée qui commença
Sur le grand canal, navigue en bateau,
Je me penche un peu et regarde l'eau.
Dans le ciel bleu, je vois le soleil luire,
Devant moi, ton visage resplendir.
Dans cette eau, je vois des reflets, et toi ?
Ne vois-tu que la surface, sans loi ?
Ô ta main sur l'eau veut-elle attraper
Les nuages du poète rêveur ?
Ton visage blanc à l'ombre, ô mon cœur,
Semble être heureux de tant s'émerveiller.
Ton ombrelle de dentelle est bien belle,
Comme toi sous ce si beau soleil, ciel.
Je suis encore ce rêveur, au cœur
Tendre qui rêve voyage et bonheur.
Tu as, comme la si belle Nature,
Tout pour plaire en restant bien naturelle.
La dentelle te va à ravir, sûr,
Là, je suis le plus heureux, ô ma belle.
David Gandil, 1 septembre 2011
Durant une journée qui commença
Sur le grand canal, navigue en bateau,
Je me penche un peu et regarde l'eau.
Dans le ciel bleu, je vois le soleil luire,
Devant moi, ton visage resplendir.
Dans cette eau, je vois des reflets, et toi ?
Ne vois-tu que la surface, sans loi ?
Ô ta main sur l'eau veut-elle attraper
Les nuages du poète rêveur ?
Ton visage blanc à l'ombre, ô mon cœur,
Semble être heureux de tant s'émerveiller.
Ton ombrelle de dentelle est bien belle,
Comme toi sous ce si beau soleil, ciel.
Je suis encore ce rêveur, au cœur
Tendre qui rêve voyage et bonheur.
Tu as, comme la si belle Nature,
Tout pour plaire en restant bien naturelle.
La dentelle te va à ravir, sûr,
Là, je suis le plus heureux, ô ma belle.
David Gandil, 1 septembre 2011