Ô mon bon train, toi qui m'emmènes au loin,
Voyager, oubliant le quotidien,
Grâce à toi je rencontre tant de gens,
Des étranges et surtout des belles enfants.
Aujourd'hui, tant de blondes, sourires, âmes,
Oh, tiens ! N'est-ce pas Marie-Antoinette
Que je vois passer devant moi ? C'est bête,
Non, c'est juste une jeune et belle dame.
Ah là là ! Que la vie est belle ici,
Si j'ose m'approcher et lui parler,
Oui, je me croirai presque au paradis,
Mais courtisane ne fait que passer.
Moi, ce qui me plait le plus, voit le ciel,
C'est les rencontres dans un beau château,
C'est les rencontres aux magasins, c'est beau,
C'est l'endroit où les fleurs sont les plus belles.
Or, le destin ne peut que s'y trouver
Ou pour mieux dire, est ma destinée,
Car je n'aime pas les filles de fêtes,
Mais sages et douces, qui ne perd sa tête.
David Gandil, 2 septembre 2011
Voyager, oubliant le quotidien,
Grâce à toi je rencontre tant de gens,
Des étranges et surtout des belles enfants.
Aujourd'hui, tant de blondes, sourires, âmes,
Oh, tiens ! N'est-ce pas Marie-Antoinette
Que je vois passer devant moi ? C'est bête,
Non, c'est juste une jeune et belle dame.
Ah là là ! Que la vie est belle ici,
Si j'ose m'approcher et lui parler,
Oui, je me croirai presque au paradis,
Mais courtisane ne fait que passer.
Moi, ce qui me plait le plus, voit le ciel,
C'est les rencontres dans un beau château,
C'est les rencontres aux magasins, c'est beau,
C'est l'endroit où les fleurs sont les plus belles.
Or, le destin ne peut que s'y trouver
Ou pour mieux dire, est ma destinée,
Car je n'aime pas les filles de fêtes,
Mais sages et douces, qui ne perd sa tête.
David Gandil, 2 septembre 2011