Je défais l'oeuvre d'art dans tes cheveux
Car c'est d'ici que commencer je veux.
Tes cheveux blonds ondulent sur les plumes
Et je descends tout doucement ma plume.
Le long de ton dos et du beau corset,
Je suis de droite à gauche un des lacets,
De plus en plus heureux et trop rêveur,
Au bout, je tire dessus pour ton coeur.
Je sens un souffle de vie et d'espoir,
La fleur éclose raconte l'histoire
De la dentelle qui va devant toi
Et des fleurs qui remontent où sont tes doigts.
Là-haut, il y a de bien beaux dessins,
Un grain de beauté au bout du chemin
Qui attire mes yeux très vachement
Au bout de tes doigts, le plus tendrement.
Par la suite, je découvre toujours
Ton visage de poupée, mon amour,
Tes joues et tes lèvres rouges et heureuses,
Tes yeux verts, la prairie d'une rêveuse.
Et me voici alors en toi, ce soir,
Dans tes pensées, un de tes beaux espoirs,
Nous ne faisons qu'un en ce jourd'hui,
Mon coeur bat en toi, ainsi va la vie.
David Gandil, 4 septembre 2011
Car c'est d'ici que commencer je veux.
Tes cheveux blonds ondulent sur les plumes
Et je descends tout doucement ma plume.
Le long de ton dos et du beau corset,
Je suis de droite à gauche un des lacets,
De plus en plus heureux et trop rêveur,
Au bout, je tire dessus pour ton coeur.
Je sens un souffle de vie et d'espoir,
La fleur éclose raconte l'histoire
De la dentelle qui va devant toi
Et des fleurs qui remontent où sont tes doigts.
Là-haut, il y a de bien beaux dessins,
Un grain de beauté au bout du chemin
Qui attire mes yeux très vachement
Au bout de tes doigts, le plus tendrement.
Par la suite, je découvre toujours
Ton visage de poupée, mon amour,
Tes joues et tes lèvres rouges et heureuses,
Tes yeux verts, la prairie d'une rêveuse.
Et me voici alors en toi, ce soir,
Dans tes pensées, un de tes beaux espoirs,
Nous ne faisons qu'un en ce jourd'hui,
Mon coeur bat en toi, ainsi va la vie.
David Gandil, 4 septembre 2011