Fini, les favorites et amourettes !
J'attendrai le vrai et plus bel amour,
Je ne t'appellerai pas au secours,
Ô ma bien tendre Marie-Antoinette.
Car terminé, les amours passagères ?
Reste à savoir si je peux le faire
Envers leurs yeux et leur beauté cruelle.
C'est toi qui sera toujours la plus belle.
Quand pourrons-nous enfin nous rencontrer
Ô mon allemande que j'aime tant ?
Et heureux, ensemble vers Vienne allant,
Voir le château, voyage tant rêvé ?
"Meinen shönsten Liebesantrag", là,
C'est qu'enfin tu m'aimes, chère Luisa,
La plus grande princesse de mon coeur,
Si noble soit-il, te croit son bonheur.
David Gandil, 7 septembre 2011
J'attendrai le vrai et plus bel amour,
Je ne t'appellerai pas au secours,
Ô ma bien tendre Marie-Antoinette.
Car terminé, les amours passagères ?
Reste à savoir si je peux le faire
Envers leurs yeux et leur beauté cruelle.
C'est toi qui sera toujours la plus belle.
Quand pourrons-nous enfin nous rencontrer
Ô mon allemande que j'aime tant ?
Et heureux, ensemble vers Vienne allant,
Voir le château, voyage tant rêvé ?
"Meinen shönsten Liebesantrag", là,
C'est qu'enfin tu m'aimes, chère Luisa,
La plus grande princesse de mon coeur,
Si noble soit-il, te croit son bonheur.
David Gandil, 7 septembre 2011