Quand je les vois qui passent devant moi,
Ces filles heureuses et amies dans la joie,
Je m'incline en restant parfois sans voix,
Car on se connait peu, je n'ose pas.
Et quand je vois leurs sourires envers moi,
Qu'une pensée est à ce jour, en eux,
Je me dis : Pourquoi je suis tant heureux,
De voir passer tous ces gens devant moi ?
C'est nos pensées, envers elles, envers moi,
C'est notre vision, se voyant, là,
C'est un très grand honneur que vous me faites,
C'est mon bonheur qui heureux, ne m'arrête.
Vois toi, si ce n'est de l'amour, ici,
Vois toi, juste pour partager nos vies,
Vois toi, avec des moyens, du bonheur,
Vois toi, ces gens je les porte en mon coeur.
On a besoin de personne, dit-il,
Pour avancer sans être influencé.
Mais c'est toujours bien, par ici, d'aimer,
Partager bonheur, clignement de cils.
Je ne suis pas amoureux, cette fois,
Juste comme un enfant, enfin je crois.
Des délires, comme on dit, j'aime ça,
Voir que nous sommes heureux, comme cela.
David Gandil, 16 septembre 2011
Ces filles heureuses et amies dans la joie,
Je m'incline en restant parfois sans voix,
Car on se connait peu, je n'ose pas.
Et quand je vois leurs sourires envers moi,
Qu'une pensée est à ce jour, en eux,
Je me dis : Pourquoi je suis tant heureux,
De voir passer tous ces gens devant moi ?
C'est nos pensées, envers elles, envers moi,
C'est notre vision, se voyant, là,
C'est un très grand honneur que vous me faites,
C'est mon bonheur qui heureux, ne m'arrête.
Vois toi, si ce n'est de l'amour, ici,
Vois toi, juste pour partager nos vies,
Vois toi, avec des moyens, du bonheur,
Vois toi, ces gens je les porte en mon coeur.
On a besoin de personne, dit-il,
Pour avancer sans être influencé.
Mais c'est toujours bien, par ici, d'aimer,
Partager bonheur, clignement de cils.
Je ne suis pas amoureux, cette fois,
Juste comme un enfant, enfin je crois.
Des délires, comme on dit, j'aime ça,
Voir que nous sommes heureux, comme cela.
David Gandil, 16 septembre 2011