J'ai vu Pégase, la si jolie dame
Ailée, ange du ciel pleins de charme.
Elle m'a donné de sa chevelure
Une plume dorée sans une usure.
Tombé en faisant le premier pas,
Elle était là, elle me releva.
J'étais heureux lorsque j'ai pris sa main,
Je devais la suivre au long du chemin.
Voici alors le deuxième pas,
La déesse m'éblouit. Devant moi,
Je voudrais bien lui prendre cette fleur,
Un lys rosé à demi-nu, un coeur.
Ce bel amour veut partager ma vie,
J'ai un peu peur du destin aujourd'hui.
Cette peinture antique veut paraitre,
Me plaire sans avis, avec moi être.
On partira, ensemble, voyager,
On s'aimera, oui, moi et Liberté.
Je lui devrai tout, même mes espoirs,
Mon bonheur, je rêve d'elle le soir.
David Gandil, 18 septembre 2011
Ailée, ange du ciel pleins de charme.
Elle m'a donné de sa chevelure
Une plume dorée sans une usure.
Tombé en faisant le premier pas,
Elle était là, elle me releva.
J'étais heureux lorsque j'ai pris sa main,
Je devais la suivre au long du chemin.
Voici alors le deuxième pas,
La déesse m'éblouit. Devant moi,
Je voudrais bien lui prendre cette fleur,
Un lys rosé à demi-nu, un coeur.
Ce bel amour veut partager ma vie,
J'ai un peu peur du destin aujourd'hui.
Cette peinture antique veut paraitre,
Me plaire sans avis, avec moi être.
On partira, ensemble, voyager,
On s'aimera, oui, moi et Liberté.
Je lui devrai tout, même mes espoirs,
Mon bonheur, je rêve d'elle le soir.
David Gandil, 18 septembre 2011