J'ai pris la main de la dame au chignon,
Aux beaux cheveux fins, longs, brillants et blonds.
Marchant tout au long des chemins perdus,
Avec un amour qui n'en finit plus.
Comme un couple bourgeois, on entre là,
Pour ainsi voir ce qu'on y trouvera,
La voir essayer quelques jolies robes,
Sentir alors sa main qui se dérobe.
Ah, que j'aime ma bien belle duchesse
Qui enfile une robe de princesse.
La blanche colombe et cette parure
Céans, elle a une fort belle allure.
Et nous voilà rêveurs de fiançailles,
Ainsi qu'une autre pensée pour Versailles.
On est heureux sans le vouloir vraiment,
Chaque pas est un bonheur maintenant.
Elle met ses mains dans ses beaux cheveux,
Me regarde d'un air malicieux.
Rien que ce simple fait me fait sourire,
Je ne peux m'empêcher de rendre un rire.
Je suis perdu dans tout ce que je pense,
Et si je pars par là, elle s'avance.
Quand je ne la vois plus, je la revois
Sans l'avoir voulu, heureux, chaque fois.
David Gandil, 23 septembre 2011
Aux beaux cheveux fins, longs, brillants et blonds.
Marchant tout au long des chemins perdus,
Avec un amour qui n'en finit plus.
Comme un couple bourgeois, on entre là,
Pour ainsi voir ce qu'on y trouvera,
La voir essayer quelques jolies robes,
Sentir alors sa main qui se dérobe.
Ah, que j'aime ma bien belle duchesse
Qui enfile une robe de princesse.
La blanche colombe et cette parure
Céans, elle a une fort belle allure.
Et nous voilà rêveurs de fiançailles,
Ainsi qu'une autre pensée pour Versailles.
On est heureux sans le vouloir vraiment,
Chaque pas est un bonheur maintenant.
Elle met ses mains dans ses beaux cheveux,
Me regarde d'un air malicieux.
Rien que ce simple fait me fait sourire,
Je ne peux m'empêcher de rendre un rire.
Je suis perdu dans tout ce que je pense,
Et si je pars par là, elle s'avance.
Quand je ne la vois plus, je la revois
Sans l'avoir voulu, heureux, chaque fois.
David Gandil, 23 septembre 2011