J'y pense le soir, au jour qui me suit,
J'en rêve plusieurs fois la nuit,
Mon cœur en frémit le matin trop court
Puisqu'il est le plus heureux à ce jour.
Et voilà, vois là, je n'ai rien à dire,
La même histoire mais un autre avenir.
Monseigneur est entouré par des dames
Qui ont, là, une âme d'un certain charme.
Monseigneur regarde alors l'horizon
Et où il est céans. En tête un nom,
Je ne les connaissais bien qu'en pensée,
Sainte-Fleur, aujourd'hui s'est rencontré.
Tandis que les courtisans nous regardent,
C'est d'autres yeux qui par ici me gardent.
Le temps passe, j'ai plongé dans l'eau bleu
Des sirènes. Un prince silencieux.
Sentiment étrange toujours présent,
Comme devant l'amour perdu d'antan.
L'inspiration me perd par ici-bas,
Je n'arrive pas à penser sans loi.
Une journée favorable aux honneurs,
Une musique met de bonne humeur.
Petit devant la joie, bien trop rêveur,
Mais un souvenir de plus en mon cœur.
David Gandil, 5 octobre 2011
J'en rêve plusieurs fois la nuit,
Mon cœur en frémit le matin trop court
Puisqu'il est le plus heureux à ce jour.
Et voilà, vois là, je n'ai rien à dire,
La même histoire mais un autre avenir.
Monseigneur est entouré par des dames
Qui ont, là, une âme d'un certain charme.
Monseigneur regarde alors l'horizon
Et où il est céans. En tête un nom,
Je ne les connaissais bien qu'en pensée,
Sainte-Fleur, aujourd'hui s'est rencontré.
Tandis que les courtisans nous regardent,
C'est d'autres yeux qui par ici me gardent.
Le temps passe, j'ai plongé dans l'eau bleu
Des sirènes. Un prince silencieux.
Sentiment étrange toujours présent,
Comme devant l'amour perdu d'antan.
L'inspiration me perd par ici-bas,
Je n'arrive pas à penser sans loi.
Une journée favorable aux honneurs,
Une musique met de bonne humeur.
Petit devant la joie, bien trop rêveur,
Mais un souvenir de plus en mon cœur.
David Gandil, 5 octobre 2011