Même parmi la foule je te vois,
Tu t'éloignes et te retournes vers moi.
Je n'ose pas regarder dans tes yeux,
Que peu, puisque j'ai peur d'être amoureux.
Conscient, je veux partir ? Non voulu,
J'ai compris pourquoi je ne rêve plus
Et pourquoi mon cœur bat si fort pour toi,
Inconscient, plus de liberté, vois.
J'ai rêvé de toi, je ne rêve plus,
C'est ainsi que le destin l'a voulu.
Tu es peut-être mon plus grand désir,
Je te suis dans tes pas, vers l'avenir.
Puisque tu es mon battement de cœur,
Maintenant te perdre, partir, j'ai peur.
Mon rêve est devenu réalité
Enfin, c'est ce que j'ose imaginer.
Tes yeux m'attirent et je ne veux la mort,
Sur mon cœur tirent pour qu'il bat plus fort.
Tant d'envies dans un regard passager,
J'ai peur d'être ici-bas et déranger.
Je relève la tête et suis heureux,
Tes yeux me troublent, sont-ils amoureux ?
Jolie fleur, ton sourire m'éblouit,
Tu deviens alors le sens de ma vie.
David Gandil, 7 octobre 2011
Tu t'éloignes et te retournes vers moi.
Je n'ose pas regarder dans tes yeux,
Que peu, puisque j'ai peur d'être amoureux.
Conscient, je veux partir ? Non voulu,
J'ai compris pourquoi je ne rêve plus
Et pourquoi mon cœur bat si fort pour toi,
Inconscient, plus de liberté, vois.
J'ai rêvé de toi, je ne rêve plus,
C'est ainsi que le destin l'a voulu.
Tu es peut-être mon plus grand désir,
Je te suis dans tes pas, vers l'avenir.
Puisque tu es mon battement de cœur,
Maintenant te perdre, partir, j'ai peur.
Mon rêve est devenu réalité
Enfin, c'est ce que j'ose imaginer.
Tes yeux m'attirent et je ne veux la mort,
Sur mon cœur tirent pour qu'il bat plus fort.
Tant d'envies dans un regard passager,
J'ai peur d'être ici-bas et déranger.
Je relève la tête et suis heureux,
Tes yeux me troublent, sont-ils amoureux ?
Jolie fleur, ton sourire m'éblouit,
Tu deviens alors le sens de ma vie.
David Gandil, 7 octobre 2011