Voici ici venir la jalousie,
Penser à toi chaque heure de ma vie,
Ne pas vouloir partager la pensée,
Qu'autre que moi demeure à tes côtés.
Tu es comme celles dans les tableaux,
C'est pourquoi en toi tout me semble beau.
J'oublie qui je suis quand je pense à toi,
Je te suis, comme si n'étais plus moi.
J'ai encore peur de t'être soumis,
De ne plus réaliser mes envies.
Je ne sais toujours pas ce que tu pense,
Méfiant, te propose cette danse.
On s'aime sans se désirer vraiment ?
Aux sous-entendus, ce jeux, on se prend.
Je te propose de partir loin,
Te protégeant, tu vois, sur le chemin.
David Gandil, 10 octobre 2011
Penser à toi chaque heure de ma vie,
Ne pas vouloir partager la pensée,
Qu'autre que moi demeure à tes côtés.
Tu es comme celles dans les tableaux,
C'est pourquoi en toi tout me semble beau.
J'oublie qui je suis quand je pense à toi,
Je te suis, comme si n'étais plus moi.
J'ai encore peur de t'être soumis,
De ne plus réaliser mes envies.
Je ne sais toujours pas ce que tu pense,
Méfiant, te propose cette danse.
On s'aime sans se désirer vraiment ?
Aux sous-entendus, ce jeux, on se prend.
Je te propose de partir loin,
Te protégeant, tu vois, sur le chemin.
David Gandil, 10 octobre 2011