J'entends ce cri du coeur au déshonneur,
Puisque ce n'était pas encore l'heure.
Ah, je crois bien qu'en fait ne m'aime pas,
Elle dit : ce sera mieux comme ça.
Ah mon bonheur, loin, tu t'en vas ce soir,
Je dois continuer une autre histoire.
Restons amis, puisque c'en est ainsi,
J'ai mal compris, vois, mon coeur se meurtrit.
J'ai voulu t'aimer, j'ai senti mon coeur,
Tu n'as rien compris, j'ai tant de malheur.
Tout est-il vraiment faux ? Ou dois-je attendre ?
Noble dame, chère à mon coeur si tendre.
Espoirs, mes rêves ne sont plus céans,
Tout semble parfois comme auparavant.
Un peu jaloux, j'ai toujours trop rêvé,
Voici revenir la réalité.
David Gandil, 16 octobre 2011
Puisque ce n'était pas encore l'heure.
Ah, je crois bien qu'en fait ne m'aime pas,
Elle dit : ce sera mieux comme ça.
Ah mon bonheur, loin, tu t'en vas ce soir,
Je dois continuer une autre histoire.
Restons amis, puisque c'en est ainsi,
J'ai mal compris, vois, mon coeur se meurtrit.
J'ai voulu t'aimer, j'ai senti mon coeur,
Tu n'as rien compris, j'ai tant de malheur.
Tout est-il vraiment faux ? Ou dois-je attendre ?
Noble dame, chère à mon coeur si tendre.
Espoirs, mes rêves ne sont plus céans,
Tout semble parfois comme auparavant.
Un peu jaloux, j'ai toujours trop rêvé,
Voici revenir la réalité.
David Gandil, 16 octobre 2011