Il adviendra tout ce qu'il adviendra
Et te voir est tout ce qu'il me faudra.
Coeur, je le laisserai battre à son aise,
Tu n'as pas à m'aimer, que ça te plaise.
Puisque son beau coeur ne bat pas pour moi,
L'ayant dit hier, pas autant que je crois,
Elle m'aime, oui, mais sans grand désir,
Plus que tout, mais contre cet avenir.
Elle veut bien qu'encore moi, je l'aime,
Que l'on reste plus grands amis, les mêmes.
Tant mieux, je n'ai alors peur de partir
Quittant l'amour que j'ai pu ressentir.
Elle veut mon bonheur et me parler,
Me voir tous les beaux jours et me manquer.
Les pleurs se sont dissipés, bel aveu,
Anges, des ailes, libres désireux.
David Gandil, 18 octobre 2011
Et te voir est tout ce qu'il me faudra.
Coeur, je le laisserai battre à son aise,
Tu n'as pas à m'aimer, que ça te plaise.
Puisque son beau coeur ne bat pas pour moi,
L'ayant dit hier, pas autant que je crois,
Elle m'aime, oui, mais sans grand désir,
Plus que tout, mais contre cet avenir.
Elle veut bien qu'encore moi, je l'aime,
Que l'on reste plus grands amis, les mêmes.
Tant mieux, je n'ai alors peur de partir
Quittant l'amour que j'ai pu ressentir.
Elle veut mon bonheur et me parler,
Me voir tous les beaux jours et me manquer.
Les pleurs se sont dissipés, bel aveu,
Anges, des ailes, libres désireux.
David Gandil, 18 octobre 2011