Nous sommes moins ! Alors moi, oui, j'escompte,
Vois, personne ne veut s'en rendre compte.
Je voudrais vivre comme je le veux,
On ne peut pas être les plus nombreux.
Je veux rester dans ma France chérie,
Celle des rêves et du bonheur acquit.
Je veux croire en liberté et noblesse,
Veux vivre auprès d'une belle princesse.
Personne ne semble voir l'avenir,
Ce que certains prévoient est à venir !
Ils ne pensent qu'à leur propre bonheur
D'aujourd'hui et aux espoirs de cette heure.
J'annonce, moi, au jour de ce jourd'hui,
Révolution, le pouvoir aboli,
Que le bonheur terminera demain,
L'année prochaine, verront-ils tous bien ?
Je crierait mes rancœurs sur les papiers,
Veux croire en la belle vie annoncée.
Essayons, rêvons, écoutez au moins !
Avoir un peu mieux, c'est entre vos mains.
Les français flânant dans les belles rues
Y vivront sous la pluie, ayant voulu
Laisser ce beau monde les oublier,
Ils regretteront de s'être exprimé.
Mourir, ce grand mot ne fait pas si peur,
Moi, j'ai compris la vie, peur sans bonheur.
Ils ont perdu la tête pour les gens,
Ne retrouvent la raison maintenant.
David Gandil, 19 octobre 2011
Vois, personne ne veut s'en rendre compte.
Je voudrais vivre comme je le veux,
On ne peut pas être les plus nombreux.
Je veux rester dans ma France chérie,
Celle des rêves et du bonheur acquit.
Je veux croire en liberté et noblesse,
Veux vivre auprès d'une belle princesse.
Personne ne semble voir l'avenir,
Ce que certains prévoient est à venir !
Ils ne pensent qu'à leur propre bonheur
D'aujourd'hui et aux espoirs de cette heure.
J'annonce, moi, au jour de ce jourd'hui,
Révolution, le pouvoir aboli,
Que le bonheur terminera demain,
L'année prochaine, verront-ils tous bien ?
Je crierait mes rancœurs sur les papiers,
Veux croire en la belle vie annoncée.
Essayons, rêvons, écoutez au moins !
Avoir un peu mieux, c'est entre vos mains.
Les français flânant dans les belles rues
Y vivront sous la pluie, ayant voulu
Laisser ce beau monde les oublier,
Ils regretteront de s'être exprimé.
Mourir, ce grand mot ne fait pas si peur,
Moi, j'ai compris la vie, peur sans bonheur.
Ils ont perdu la tête pour les gens,
Ne retrouvent la raison maintenant.
David Gandil, 19 octobre 2011