Je rêve de ce dernier beau jour,
Le dernier passé auprès de m'amour.
Dans tes yeux, je verrai dans ton regard,
Désespoir, un "j'espère te revoir".
Aurai-je le droit d'être dans tes bras,
De rire au lieu de pleurer ici-bas,
M'amuser encore avec toi ma muse,
Avoir un baiser d'adieu, ou j'abuse ?
On aura, j'espère, toute une année,
Ensemble, grands amis heureux, passé.
Tu auras séduit mes pensées tous jours,
Manque, je dois te quitter à ce jour.
Je t'aurais respecté par un désir
De m'incliner chaque fois, à vrai dire.
Aujourd'hui, je tremble un peu et j'ai froid,
S'aimant ainsi avec nos propres lois.
Je pourrai dire qu'il t'as aimé, coeur,
Que ce fut un de mes plus grands honneurs.
J'ai voulu ton bonheur et toi le mien,
Je n'étais plus seul et j'aimais trop bien.
Je m'en vais et je vois des longues larmes,
Excusez-moi, voyez, ma chère dame.
Je me retourne sur le chemin pris
Pour ne jamais t'oublier loin d'ici.
David Gandil, 20 octobre 2011
Le dernier passé auprès de m'amour.
Dans tes yeux, je verrai dans ton regard,
Désespoir, un "j'espère te revoir".
Aurai-je le droit d'être dans tes bras,
De rire au lieu de pleurer ici-bas,
M'amuser encore avec toi ma muse,
Avoir un baiser d'adieu, ou j'abuse ?
On aura, j'espère, toute une année,
Ensemble, grands amis heureux, passé.
Tu auras séduit mes pensées tous jours,
Manque, je dois te quitter à ce jour.
Je t'aurais respecté par un désir
De m'incliner chaque fois, à vrai dire.
Aujourd'hui, je tremble un peu et j'ai froid,
S'aimant ainsi avec nos propres lois.
Je pourrai dire qu'il t'as aimé, coeur,
Que ce fut un de mes plus grands honneurs.
J'ai voulu ton bonheur et toi le mien,
Je n'étais plus seul et j'aimais trop bien.
Je m'en vais et je vois des longues larmes,
Excusez-moi, voyez, ma chère dame.
Je me retourne sur le chemin pris
Pour ne jamais t'oublier loin d'ici.
David Gandil, 20 octobre 2011