Le destin m'a offert un beau tableau,
Vois une dame assise au bord de l'eau.
Doré, de couleur bleu-vert, j'adorais,
Toujours en pensée, voulant retrouver.
Je l'avais accroché où je rêvais,
Où avec les mots j'aime bien jouer.
Une maison bourgeoise ayant acquise,
J'étais comme auprès d'elle, vie exquise.
J'ai passé des jours à penser, rêver,
Par la beauté, j'étais influencé.
La princesse côtoyait Monseigneur,
La dame antique vivait en mon coeur.
Mais la Révolution est arrivée,
On est venu du mur te décrocher.
Il y a ce vide, ce manque en moi,
Vais-je être triste ? Demain, je revois.
Et pourtant tu règnes dans mes pensées,
Je me laisse guider, bien inspiré,
Je ne puis plus écrire sans ta vie,
Sans la noblesse de l'âme chérie.
David Gandil, 22 octobre 2011
Vois une dame assise au bord de l'eau.
Doré, de couleur bleu-vert, j'adorais,
Toujours en pensée, voulant retrouver.
Je l'avais accroché où je rêvais,
Où avec les mots j'aime bien jouer.
Une maison bourgeoise ayant acquise,
J'étais comme auprès d'elle, vie exquise.
J'ai passé des jours à penser, rêver,
Par la beauté, j'étais influencé.
La princesse côtoyait Monseigneur,
La dame antique vivait en mon coeur.
Mais la Révolution est arrivée,
On est venu du mur te décrocher.
Il y a ce vide, ce manque en moi,
Vais-je être triste ? Demain, je revois.
Et pourtant tu règnes dans mes pensées,
Je me laisse guider, bien inspiré,
Je ne puis plus écrire sans ta vie,
Sans la noblesse de l'âme chérie.
David Gandil, 22 octobre 2011