J'ouvre la porte à la joyeuseté,
Une noblesse à toujours accorder.
Je souris à chaque heure en harmonie,
Me prosterne devant ma chère amie.
Je les découvre chaque jour, ces choses,
Avoir une page blanche en est cause.
J'écris pour voir ce qui l'était déjà,
Je vois ce que je veux dire ici-bas.
Je rêve, blanc sur blanc puis noir sur blanc.
Puisque tout dans ce monde est évident,
Il faut essayer de s'en rendre compte
Et espérer, dire que l'on escompte.
Je joue avec la feuille de Nature
Et les mots que j'apprends, n'en suis pas sûr.
Celle qui a donné naissance au roi
Permet au prince des honneurs sans loi.
Là, tu es ma page et je suis ton page,
Nous ne pouvons pas toujours être sage.
Associant nos dires à nos pensées,
Je ne sais que dire, m'en vais rêver.
David Gandil, 24 octobre 2011
Une noblesse à toujours accorder.
Je souris à chaque heure en harmonie,
Me prosterne devant ma chère amie.
Je les découvre chaque jour, ces choses,
Avoir une page blanche en est cause.
J'écris pour voir ce qui l'était déjà,
Je vois ce que je veux dire ici-bas.
Je rêve, blanc sur blanc puis noir sur blanc.
Puisque tout dans ce monde est évident,
Il faut essayer de s'en rendre compte
Et espérer, dire que l'on escompte.
Je joue avec la feuille de Nature
Et les mots que j'apprends, n'en suis pas sûr.
Celle qui a donné naissance au roi
Permet au prince des honneurs sans loi.
Là, tu es ma page et je suis ton page,
Nous ne pouvons pas toujours être sage.
Associant nos dires à nos pensées,
Je ne sais que dire, m'en vais rêver.
David Gandil, 24 octobre 2011