Amour, toi qui est mort entre mes mains,
Je te désirerai toujours demain.
Je serai en ta nuit fidèle amant,
Libre et jusqu'à l'au-delà, moi, aimant.
Mes jours ne seront plus les mêmes ici
Sans le bleu de tes yeux qui m'éblouit.
Morte, devant ton corps, je vois le ciel,
Lève ma main et m'émerveille tel.
Je pleure, maintenant tu es à ma foi,
Je suis jaloux tu le savais, je vois.
Mais tu n'avais pas le droit de partir
En prenant mes pensées, autre avenir.
Tes beaux cheveux filent entre quelques doigts,
Tes beaux yeux bleus sont fermés devant moi.
On vivait en rêve de possession,
Nous voulions vivre en admiration.
David Gandil, 25 octobre 2011
Je te désirerai toujours demain.
Je serai en ta nuit fidèle amant,
Libre et jusqu'à l'au-delà, moi, aimant.
Mes jours ne seront plus les mêmes ici
Sans le bleu de tes yeux qui m'éblouit.
Morte, devant ton corps, je vois le ciel,
Lève ma main et m'émerveille tel.
Je pleure, maintenant tu es à ma foi,
Je suis jaloux tu le savais, je vois.
Mais tu n'avais pas le droit de partir
En prenant mes pensées, autre avenir.
Tes beaux cheveux filent entre quelques doigts,
Tes beaux yeux bleus sont fermés devant moi.
On vivait en rêve de possession,
Nous voulions vivre en admiration.
David Gandil, 25 octobre 2011