Hier soir, j'ai rêvé de ceci, cela,
De choses, et je ne m'en rappelle pas.
La fête des morts arrive bientôt,
Mes rêves sont mauvais et bien trop sot.
Ah, je m'en souviens, est-ce vraiment bien ?
Je comprends un peu d'où ce rêve vient.
Il ne faut pas que le prince soit roi,
Premier fils, à l'annonce il fait froid.
Mère Nature n'accepte ce fait,
Ainsi, il fallait bien se résigner.
Il devait être prince et futur roi,
Fils de la campagne, contraire aux lois.
Le roi s'était amusé sans respect,
Ne voulant qu'enfants et être adoré
Par les dames succombant à son charme,
Avec décadence, il avait une arme.
J'ai été omnibulé par l'étoile
Et ces successions formant une toile.
Je restais devant la porte du mur
Et je n'entendais que quelques murmures.
J'étais tombé en arrivant ici,
Je ne pouvais pas changer cette vie.
Il y avait au milieu des gens,
Deux nobles, le roi, la dame et l'enfant.
A l'horizon, la hache se leva,
Un bruit, un cri, des pleurs, on l'acheva.
Le premier coup fait perdre la tête,
Le second était juste pour la fête.
David Gandil, 28 octobre 2011
De choses, et je ne m'en rappelle pas.
La fête des morts arrive bientôt,
Mes rêves sont mauvais et bien trop sot.
Ah, je m'en souviens, est-ce vraiment bien ?
Je comprends un peu d'où ce rêve vient.
Il ne faut pas que le prince soit roi,
Premier fils, à l'annonce il fait froid.
Mère Nature n'accepte ce fait,
Ainsi, il fallait bien se résigner.
Il devait être prince et futur roi,
Fils de la campagne, contraire aux lois.
Le roi s'était amusé sans respect,
Ne voulant qu'enfants et être adoré
Par les dames succombant à son charme,
Avec décadence, il avait une arme.
J'ai été omnibulé par l'étoile
Et ces successions formant une toile.
Je restais devant la porte du mur
Et je n'entendais que quelques murmures.
J'étais tombé en arrivant ici,
Je ne pouvais pas changer cette vie.
Il y avait au milieu des gens,
Deux nobles, le roi, la dame et l'enfant.
A l'horizon, la hache se leva,
Un bruit, un cri, des pleurs, on l'acheva.
Le premier coup fait perdre la tête,
Le second était juste pour la fête.
David Gandil, 28 octobre 2011