Je ne l'écoute plus, omnibulé
Par le naturel de sa beauté.
J'ai comme désir de voir dans ses yeux
Ce qui me rend heureux et amoureux.
Je plonge aux milles lieux de dessins,
Les regarde un par un enfin sans fin.
Ils deviennent mes rêves et envies,
Rien qu'en les voyant j'en fait poésie.
Je ferme mes yeux, je frisonne un peu,
Je dois arrêter tant que je le peux.
Sur mon épaule sa main est posée,
Avec délicatesse s'en levait.
Je la retrouve peau contre ma peau,
Main dans la main, le moment est trop beau.
Nous frôlons nos épaules ce soir là,
Heureux de la voir à côté de moi.
Apprends-moi à toujours compter sur toi,
C'est l'heure où je ne pense plus à moi.
Je ne connais rien, il me faut apprendre,
La coquine rit sans vraiment comprendre.
David Gandil, 31 octobre 2011
Par le naturel de sa beauté.
J'ai comme désir de voir dans ses yeux
Ce qui me rend heureux et amoureux.
Je plonge aux milles lieux de dessins,
Les regarde un par un enfin sans fin.
Ils deviennent mes rêves et envies,
Rien qu'en les voyant j'en fait poésie.
Je ferme mes yeux, je frisonne un peu,
Je dois arrêter tant que je le peux.
Sur mon épaule sa main est posée,
Avec délicatesse s'en levait.
Je la retrouve peau contre ma peau,
Main dans la main, le moment est trop beau.
Nous frôlons nos épaules ce soir là,
Heureux de la voir à côté de moi.
Apprends-moi à toujours compter sur toi,
C'est l'heure où je ne pense plus à moi.
Je ne connais rien, il me faut apprendre,
La coquine rit sans vraiment comprendre.
David Gandil, 31 octobre 2011