J'ai là, il me semble un pressentiment
Qui encore bien plus jaloux me rend.
Le vent, mon ami, réchauffe mon coeur
En soufflant chaudement avec bonheur.
Si je ne suis ni ami, ni amour,
Juste âme-soeur, alter ego, ce jour,
Peut-on aimer autre que la princesse,
Et moi le prince, sans que l'on se blesse ?
J'ai vu ce gars, avec, je t'ai laissé,
En homme jaloux, j'ai imaginé
Que tu l'aimais, il avait l'air heureux,
Et moi, je deviens presque malheureux.
Chacun veut le sourire des amis,
Aimer pour de vrai serait interdit.
Rien qu'amis, donc vivons en liberté,
Tout en adorant tant se côtoyer.
J'ai ressentis de l'amour près de moi
Mais qui de qui l'est, ici, cette fois ?
Tu t'es étonné de me voir rougir
Ne t'inquiète pas, vois revenir.
Tant de gens m'idolâtrent ou m'apprécient,
Je les regardais juste, elles sourient.
Tu viens de m'expliquer qui il était,
Honteux de ma jalousie, excusez !
On continue notre jeu amoureux,
Restons ensemble, la règle du jeu,
Comme si l'on s'aimait sans l'avouer,
Avec ces ressemblances appréciés.
David Gandil, 3 novembre 2011
Qui encore bien plus jaloux me rend.
Le vent, mon ami, réchauffe mon coeur
En soufflant chaudement avec bonheur.
Si je ne suis ni ami, ni amour,
Juste âme-soeur, alter ego, ce jour,
Peut-on aimer autre que la princesse,
Et moi le prince, sans que l'on se blesse ?
J'ai vu ce gars, avec, je t'ai laissé,
En homme jaloux, j'ai imaginé
Que tu l'aimais, il avait l'air heureux,
Et moi, je deviens presque malheureux.
Chacun veut le sourire des amis,
Aimer pour de vrai serait interdit.
Rien qu'amis, donc vivons en liberté,
Tout en adorant tant se côtoyer.
J'ai ressentis de l'amour près de moi
Mais qui de qui l'est, ici, cette fois ?
Tu t'es étonné de me voir rougir
Ne t'inquiète pas, vois revenir.
Tant de gens m'idolâtrent ou m'apprécient,
Je les regardais juste, elles sourient.
Tu viens de m'expliquer qui il était,
Honteux de ma jalousie, excusez !
On continue notre jeu amoureux,
Restons ensemble, la règle du jeu,
Comme si l'on s'aimait sans l'avouer,
Avec ces ressemblances appréciés.
David Gandil, 3 novembre 2011