J'aime celles qui sont fières d'elles,
Qui semblent nobles et me cacher des ailes.
J'aime l'âme-soeur aux yeux jaunes, verts,
Bleus, comme jamais vu sur cette terre.
Je raconte ce qui me fait rêver,
Mes envies et mes souvenirs passés.
Chaque amour est différent, je la vois,
Ce jourd'hui, l'alter ego près de moi.
Ma chère amie, chère à mon noble coeur,
Doit-on tout ce dire, sans avoir peur
Des pleurs et de l'éloignement suivant ?
Mon coeur est à toi seule maintenant.
En se flattant, parfois on peut rougir,
Puisses-tu m'avouer l'amour, me dire
Si un chevalier a trouvé place
En ton royal coeur où je le menace ?
Et moi non plus, je ne sais avoir droit
De blesser ton bon coeur en cas d'émoi.
Prince et Princesse, coquin et coquine,
Je ne t'interdis, le jaloux taquine.
David Gandil, 5 novembre 2011
Qui semblent nobles et me cacher des ailes.
J'aime l'âme-soeur aux yeux jaunes, verts,
Bleus, comme jamais vu sur cette terre.
Je raconte ce qui me fait rêver,
Mes envies et mes souvenirs passés.
Chaque amour est différent, je la vois,
Ce jourd'hui, l'alter ego près de moi.
Ma chère amie, chère à mon noble coeur,
Doit-on tout ce dire, sans avoir peur
Des pleurs et de l'éloignement suivant ?
Mon coeur est à toi seule maintenant.
En se flattant, parfois on peut rougir,
Puisses-tu m'avouer l'amour, me dire
Si un chevalier a trouvé place
En ton royal coeur où je le menace ?
Et moi non plus, je ne sais avoir droit
De blesser ton bon coeur en cas d'émoi.
Prince et Princesse, coquin et coquine,
Je ne t'interdis, le jaloux taquine.
David Gandil, 5 novembre 2011