Encore je demande : épousez-moi !
Mon cœur vous appartient, je n'ai de choix.
Je suis dévoué à ce noble amour
Même si ce n'est qu'un jeu chaque jour.
Liberté, que vous faudrait-il de plus
Pour vous rendre à l'évidence qui fut ?
Je promets fidélité, liberté,
S'il en va de même dans vos pensées.
Je suis toi, n'étant pas un modèle,
Je rêve, dans tes yeux je vois le ciel.
Flatte par nature, sans vouloir plaire,
Je n'ai que quelques envies à satisfaire.
Je jure ce que je promets, amour,
Te chérirai jusqu'à la fin des jours.
Quand temps et distance sont ennemis,
Espoir, je les veux pourtant pour amis.
J'entends parler de tous tes prétendants
Ton cœur ne veut encore un roi céans.
Et ne croyant pas être à la hauteur,
Je joue aux espérances avec ton cœur.
Tant que ce jeu me plait, sans conséquences,
J'imagine toujours ce que tu penses.
Je t'adore, un fait sans nier pouvoir,
J'ai un peu peur du reste de l'histoire.
David Gandil, 9 novembre 2011
Mon cœur vous appartient, je n'ai de choix.
Je suis dévoué à ce noble amour
Même si ce n'est qu'un jeu chaque jour.
Liberté, que vous faudrait-il de plus
Pour vous rendre à l'évidence qui fut ?
Je promets fidélité, liberté,
S'il en va de même dans vos pensées.
Je suis toi, n'étant pas un modèle,
Je rêve, dans tes yeux je vois le ciel.
Flatte par nature, sans vouloir plaire,
Je n'ai que quelques envies à satisfaire.
Je jure ce que je promets, amour,
Te chérirai jusqu'à la fin des jours.
Quand temps et distance sont ennemis,
Espoir, je les veux pourtant pour amis.
J'entends parler de tous tes prétendants
Ton cœur ne veut encore un roi céans.
Et ne croyant pas être à la hauteur,
Je joue aux espérances avec ton cœur.
Tant que ce jeu me plait, sans conséquences,
J'imagine toujours ce que tu penses.
Je t'adore, un fait sans nier pouvoir,
J'ai un peu peur du reste de l'histoire.
David Gandil, 9 novembre 2011