Allongé, entre la vie et la mort,
Je soupire et regarde là dehors
Lumière illuminant mon visage,
Le plus sage des si beaux paysages.
Je ferme mes yeux et je t'imagine,
Ma soeur de coeur qui toujours me fascine.
Demain, tu seras bien auprès de lui,
Ce prince à l'amour non voulu, permis.
J'ai confiance et pourtant suis jaloux,
Chez toi et sans parents autour de vous ?
Mon coeur frémit, à peur du lendemain,
Son amour vit toujours comme le mien.
Sans arrières pensées, je les ai,
Tu ne l'aimes pas, malgré rien n'est fait !
Sage et noble, ton ange veillera,
J'espère tant qu'à lui tu penseras.
Je t'aime puisque tu es comme soeur,
Puisque c'est pour toi que bat mon bon coeur.
Le connaissant peu, aimes-le si voeux,
Je n'ai rien à te dire, libre heureux.
David Gandil, 11 novembre 2011
Je soupire et regarde là dehors
Lumière illuminant mon visage,
Le plus sage des si beaux paysages.
Je ferme mes yeux et je t'imagine,
Ma soeur de coeur qui toujours me fascine.
Demain, tu seras bien auprès de lui,
Ce prince à l'amour non voulu, permis.
J'ai confiance et pourtant suis jaloux,
Chez toi et sans parents autour de vous ?
Mon coeur frémit, à peur du lendemain,
Son amour vit toujours comme le mien.
Sans arrières pensées, je les ai,
Tu ne l'aimes pas, malgré rien n'est fait !
Sage et noble, ton ange veillera,
J'espère tant qu'à lui tu penseras.
Je t'aime puisque tu es comme soeur,
Puisque c'est pour toi que bat mon bon coeur.
Le connaissant peu, aimes-le si voeux,
Je n'ai rien à te dire, libre heureux.
David Gandil, 11 novembre 2011