Je sens que l'on s'éloigne peu à peu
Mais quand on se parle, c'est bien heureux.
Certains regards me courtisent, vois-tu ?
Je ne suis un dieu, jamais ne le fut.
C'est dans tes yeux, qu'aujourd'hui, suis perdu
Et cherche le repos tant attendu.
Fais de ton coeur une prison dorée,
Je veux en être son prisonnier.
Je me fiche bien de la liberté
Si dans tes bras je peux me retrouver.
Je ne veux pas me perdre aux lendemains,
J'aimerais, te le demande, ta main.
Je suis attaché à toi, j'aime bien
T'adorer et suivre ainsi mon instinct.
Sous ma chemise, vois s'il est une heure,
Voici ma poitrine et mon noble coeur.
Un parmi tant, de la fin je n'ai peur,
Je ne veux, j'y crois bien, que ton bonheur.
Je ne sais pas où je vais chaque jour
Mais j'y vais avec plaisir et amour.
David Gandil, 15 novembre 2011
Mais quand on se parle, c'est bien heureux.
Certains regards me courtisent, vois-tu ?
Je ne suis un dieu, jamais ne le fut.
C'est dans tes yeux, qu'aujourd'hui, suis perdu
Et cherche le repos tant attendu.
Fais de ton coeur une prison dorée,
Je veux en être son prisonnier.
Je me fiche bien de la liberté
Si dans tes bras je peux me retrouver.
Je ne veux pas me perdre aux lendemains,
J'aimerais, te le demande, ta main.
Je suis attaché à toi, j'aime bien
T'adorer et suivre ainsi mon instinct.
Sous ma chemise, vois s'il est une heure,
Voici ma poitrine et mon noble coeur.
Un parmi tant, de la fin je n'ai peur,
Je ne veux, j'y crois bien, que ton bonheur.
Je ne sais pas où je vais chaque jour
Mais j'y vais avec plaisir et amour.
David Gandil, 15 novembre 2011