Le plaisir n'a de limites que là
Où l'on se sent déshonoré en soi.
Je promets ce que je te dirai,
A tes questions, je n'aurai de secrets.
Mon amour ne doit pas rendre confus
Celle en qui j'ai jeté mon dévolu.
Je ne souhaite faire déshonneur
A la noblesse présente en son coeur.
Ce soir, je ne veux pas toucher le ciel,
Je te veux juste heureuse et naturelle,
Pour dame et que je ne sois plus un prince,
Que tu sois importante en moi, enfin-ce ?
Je ne trouve point la raison, si vrai,
Qui me pousserait à ne pas t'aimer.
Tu demeures dans mes pensées ce jour
Et c'est après toi que ma raison court.
David Gandil, 27 novembre 2011
Où l'on se sent déshonoré en soi.
Je promets ce que je te dirai,
A tes questions, je n'aurai de secrets.
Mon amour ne doit pas rendre confus
Celle en qui j'ai jeté mon dévolu.
Je ne souhaite faire déshonneur
A la noblesse présente en son coeur.
Ce soir, je ne veux pas toucher le ciel,
Je te veux juste heureuse et naturelle,
Pour dame et que je ne sois plus un prince,
Que tu sois importante en moi, enfin-ce ?
Je ne trouve point la raison, si vrai,
Qui me pousserait à ne pas t'aimer.
Tu demeures dans mes pensées ce jour
Et c'est après toi que ma raison court.
David Gandil, 27 novembre 2011