Ne t'importes point de cela mortelle,
Laisses les plaisirs aux nobles immortels.
En parlant, ensemble on se reconnait,
Les nobles âmes ne meurent ainsi jamais.
Cette façon d'agir ou bien penser,
Parait-il que ce sont des dons innés.
Aurais-je en moi tous les talents d'une âme,
D'un noble poète avec tant de charmes ?
Je fais tout cela instinctivement,
Suis-je pourtant un prétentieux céans ?
Fière de tout ce que je transmets,
Je porte en moi une âme appréciée.
Je pose sur sa bague mon adresse
Avec révérence et délicatesse.
La prestance et nos nobles manières
Descendent d'anges au ciel, de nos grands pères.
On découvre d'où l'on vient, qui l'on est,
Quand on le sait, on devient l'espéré.
En retrouvant notre si noble vie,
Le respect de l'autre devient envie.
Malgré cela, j'aime bien les mortelles,
Déesses ou anges venus du bleu ciel.
Nous recherchons tous à être anobli,
Être heureux, rêver et rester amis.
David Gandil, 4 décembre 2011
Laisses les plaisirs aux nobles immortels.
En parlant, ensemble on se reconnait,
Les nobles âmes ne meurent ainsi jamais.
Cette façon d'agir ou bien penser,
Parait-il que ce sont des dons innés.
Aurais-je en moi tous les talents d'une âme,
D'un noble poète avec tant de charmes ?
Je fais tout cela instinctivement,
Suis-je pourtant un prétentieux céans ?
Fière de tout ce que je transmets,
Je porte en moi une âme appréciée.
Je pose sur sa bague mon adresse
Avec révérence et délicatesse.
La prestance et nos nobles manières
Descendent d'anges au ciel, de nos grands pères.
On découvre d'où l'on vient, qui l'on est,
Quand on le sait, on devient l'espéré.
En retrouvant notre si noble vie,
Le respect de l'autre devient envie.
Malgré cela, j'aime bien les mortelles,
Déesses ou anges venus du bleu ciel.
Nous recherchons tous à être anobli,
Être heureux, rêver et rester amis.
David Gandil, 4 décembre 2011