Mes enfants sont partis, et bien tant pis,
Il me reste ma vie et mes envies.
J'imagine toujours vous retrouver
Et parfois même le soir j'en rêvais.
J'aimerais être Hélios, ton soleil,
J'ai besoin de toi, ne vis plus pareil.
Tu crois, apprécie ma plume dorée,
Le reste du temps, n'ai qu'à espérer.
Oui, tu es pour moi, ma terre, Gaïa,
Sans toi, je ne suis celui ici-bas.
Je n'ai pas peur, j'admire tout en toi,
Dans tes yeux, c'est le monde que je vois.
Est-ce bien là un défaut, qu'on le dise,
Qu'espérer nous mène à la vantardise.
Je suis comme j'ai été autrefois,
J'ai juste besoin d'être auprès de toi.
David Gandil, 7 décembre 2011
Il me reste ma vie et mes envies.
J'imagine toujours vous retrouver
Et parfois même le soir j'en rêvais.
J'aimerais être Hélios, ton soleil,
J'ai besoin de toi, ne vis plus pareil.
Tu crois, apprécie ma plume dorée,
Le reste du temps, n'ai qu'à espérer.
Oui, tu es pour moi, ma terre, Gaïa,
Sans toi, je ne suis celui ici-bas.
Je n'ai pas peur, j'admire tout en toi,
Dans tes yeux, c'est le monde que je vois.
Est-ce bien là un défaut, qu'on le dise,
Qu'espérer nous mène à la vantardise.
Je suis comme j'ai été autrefois,
J'ai juste besoin d'être auprès de toi.
David Gandil, 7 décembre 2011