J'ai appris que les poètes, trop sots,
Bon penseurs et joueurs avec les mots,
Étaient ennemis de la République.
Rêveur, je suis en dehors, artistique.
Je suis l'ennemi de moi-même, en fait,
L'homme n'aime les pensées du poète.
Toujours, je pense comme je le veux
Et la raison la détient si le peux.
Aujourd'hui, en cause l'on me remet,
Ma faculté de penser, m'exprimer.
Soit je n'aime pas ces institutions,
La pensée est plus belle que l'action.
Nous suivons tous encore les paroles
De ces gens morts et ce n'est pas très drôle.
J'ai la capacité de réfléchir,
Je ne les laisse pas aux morts, mes dires !
Les mots sont maniés ainsi, voilà,
Chaque personne à un talent, dira,
On ne doit contredire mais changer,
L'âme est une grande valeur donnée.
David Gandil, 9 décembre 2011
Bon penseurs et joueurs avec les mots,
Étaient ennemis de la République.
Rêveur, je suis en dehors, artistique.
Je suis l'ennemi de moi-même, en fait,
L'homme n'aime les pensées du poète.
Toujours, je pense comme je le veux
Et la raison la détient si le peux.
Aujourd'hui, en cause l'on me remet,
Ma faculté de penser, m'exprimer.
Soit je n'aime pas ces institutions,
La pensée est plus belle que l'action.
Nous suivons tous encore les paroles
De ces gens morts et ce n'est pas très drôle.
J'ai la capacité de réfléchir,
Je ne les laisse pas aux morts, mes dires !
Les mots sont maniés ainsi, voilà,
Chaque personne à un talent, dira,
On ne doit contredire mais changer,
L'âme est une grande valeur donnée.
David Gandil, 9 décembre 2011