Je deviens fâcheux, le ciel devient gris,
Quand j'ai la raison de ma grande envie
Et ne comprends celle de ne la faire,
Je fais à mon aise, trop fort espère.
Malheureuse, sans l'envie de parler,
Veux m'oublier le temps d'une soirée.
Je ne veux te voir dans cet état là,
Que j'y demeure de même ici-bas.
A la suite, je cherche le pardon
Mais il ne porte pas toujours ton nom.
J'aimerais te voir et tout t'expliquer,
Je n'aimerais pas te voir t'en aller.
Je ne suis pas assez sage, péché,
Je ne t'ai pas écouté, il est vrai,
J'ai soif de savoir à ton détriment
Et celle dont plus le nom je n'entends.
Je m'en remets aux cieux, homme heureux,
Aucuns pleurs je ne veux voir dans nos yeux,
Je ne veux que le bonheur dans nos coeurs,
La fidélité se démontre à l'heure.
Mais j'en ai pleuré quand tu répondais
Que tu ne voulais pas me pardonner.
J'étais vide, mon coeur avait disparu,
En cette sensation ne croyais plus.
Je tiens à toi, c'est bien plus fort que moi,
Je le vois bien à l'instant, en émoi.
Je suis désolé, c'est ce que je dis,
Et je te pardonne, ce qui m'ennuie.
Je promets d'obéir à tes envies,
Je te veux heureuse en ta vie.
Un simple pardon bien trop attendu
Et un beau je t'aime jamais venu.
Je m'en veux et je me mets à genoux,
Ce soir, n'obtiendrai rien de par vous.
Je suis allé dormir, bien mieux, je pense,
Comme une trahison de confiance.
David Gandil, 10 et 11 décembre 2011
Quand j'ai la raison de ma grande envie
Et ne comprends celle de ne la faire,
Je fais à mon aise, trop fort espère.
Malheureuse, sans l'envie de parler,
Veux m'oublier le temps d'une soirée.
Je ne veux te voir dans cet état là,
Que j'y demeure de même ici-bas.
A la suite, je cherche le pardon
Mais il ne porte pas toujours ton nom.
J'aimerais te voir et tout t'expliquer,
Je n'aimerais pas te voir t'en aller.
Je ne suis pas assez sage, péché,
Je ne t'ai pas écouté, il est vrai,
J'ai soif de savoir à ton détriment
Et celle dont plus le nom je n'entends.
Je m'en remets aux cieux, homme heureux,
Aucuns pleurs je ne veux voir dans nos yeux,
Je ne veux que le bonheur dans nos coeurs,
La fidélité se démontre à l'heure.
Mais j'en ai pleuré quand tu répondais
Que tu ne voulais pas me pardonner.
J'étais vide, mon coeur avait disparu,
En cette sensation ne croyais plus.
Je tiens à toi, c'est bien plus fort que moi,
Je le vois bien à l'instant, en émoi.
Je suis désolé, c'est ce que je dis,
Et je te pardonne, ce qui m'ennuie.
Je promets d'obéir à tes envies,
Je te veux heureuse en ta vie.
Un simple pardon bien trop attendu
Et un beau je t'aime jamais venu.
Je m'en veux et je me mets à genoux,
Ce soir, n'obtiendrai rien de par vous.
Je suis allé dormir, bien mieux, je pense,
Comme une trahison de confiance.
David Gandil, 10 et 11 décembre 2011