Dame, en partant bien avant la bonne heure,
J'ai oublier la clé de votre cœur.
Permettez-moi de la récupérer,
Puisqu'eau dans le ciel ne doit demeurer.
Je vous demande grâce et vous en prie,
Vous qui me voyez de haut ce jourd'hui,
Acceptez la demande d'un enfant,
Ouvrez la porte du paradis blanc.
Je me suis enfui devant le danger,
Et je reviens après ma liberté.
Porte refermée et Dame au balcon,
Le Seigneur est devant votre maison.
Apprenez-moi comment je dois aimer,
Si ne suffit l'honneur et respect.
C'est le Soleil que je vois luire ici,
C'est la Nature qui reprend ma vie.
J'ai peur de croiser un jour quelques amants,
Mais moi-même ne suis qu'un prétendant.
Ma plume n'ouvre pas la porte dorée,
Mon âme se sent comme abandonnée.
M'empêchant souvent d'aller bien trop loin,
Je ne sais où je vais, mieux soit demain.
Un trône est a prendre avec un amour,
Le chemin est long et finit toujours.
David Gandil, 15 décembre 2011
J'ai oublier la clé de votre cœur.
Permettez-moi de la récupérer,
Puisqu'eau dans le ciel ne doit demeurer.
Je vous demande grâce et vous en prie,
Vous qui me voyez de haut ce jourd'hui,
Acceptez la demande d'un enfant,
Ouvrez la porte du paradis blanc.
Je me suis enfui devant le danger,
Et je reviens après ma liberté.
Porte refermée et Dame au balcon,
Le Seigneur est devant votre maison.
Apprenez-moi comment je dois aimer,
Si ne suffit l'honneur et respect.
C'est le Soleil que je vois luire ici,
C'est la Nature qui reprend ma vie.
J'ai peur de croiser un jour quelques amants,
Mais moi-même ne suis qu'un prétendant.
Ma plume n'ouvre pas la porte dorée,
Mon âme se sent comme abandonnée.
M'empêchant souvent d'aller bien trop loin,
Je ne sais où je vais, mieux soit demain.
Un trône est a prendre avec un amour,
Le chemin est long et finit toujours.
David Gandil, 15 décembre 2011