Chemins perdus
Tu déposais parfois ton parfum printanier
Au creux d'une seconde en virgule du temps
Un respir imprévu dans le flot moutonnier
Où se perdaient l'envie et ses grands oiseaux blancs
Alors venaient toujours un sursaut de lumière
Un regain d'horizon des jardins suspendus
Et le chant des roseaux en écho de rivière
Pour nous porter plus loin par les chemins perdus
Tu déposais parfois ton parfum printanier
Au creux d'une seconde en virgule du temps
Un respir imprévu dans le flot moutonnier
Où se perdaient l'envie et ses grands oiseaux blancs
Alors venaient toujours un sursaut de lumière
Un regain d'horizon des jardins suspendus
Et le chant des roseaux en écho de rivière
Pour nous porter plus loin par les chemins perdus
Amicalement.
hasia