Allez mes sens chercher là dans les airs lointains
Son divin parfum que m'a privé le destin!
Allez-y m'apporter une lueur de son front,
Mes jours noirs de chagrin, de spleen, c'est sûr luiront!
Allez-y m'apporter de ses joues un rayon
Me réchauffant la vie où souffle en tourbillon
Un grand deuil monotone givrant, dans ma cervelle
Le songe où je me vois ange veillent sur elle!
Son sourire m'était une source de vivre,
Vole mon âme pour te nicher sur ses lèvres
Puisque hélas déjà moi, je suis sans un vrai être
Tel un vide occupant la coquille d'une huître.
Me voilà privé de vie et pourtant mon coeur
Quand il bat prie qu'elle soit comblée de bonheur.
Va mon coeur lui compter mes maux, car sans écho
Sont mes cris, mes appels sont vains, en sanglots.
Va lui dire ainsi comme je voudrais lui pleurer:
<< Maudits soient cet océan, ses vagues, ses marées!
Ceux-là qui nous dépassent , ô ma perle perdue!
Mon unique trésor! ô ma paix suspendue!>>
Son divin parfum que m'a privé le destin!
Allez-y m'apporter une lueur de son front,
Mes jours noirs de chagrin, de spleen, c'est sûr luiront!
Allez-y m'apporter de ses joues un rayon
Me réchauffant la vie où souffle en tourbillon
Un grand deuil monotone givrant, dans ma cervelle
Le songe où je me vois ange veillent sur elle!
Son sourire m'était une source de vivre,
Vole mon âme pour te nicher sur ses lèvres
Puisque hélas déjà moi, je suis sans un vrai être
Tel un vide occupant la coquille d'une huître.
Me voilà privé de vie et pourtant mon coeur
Quand il bat prie qu'elle soit comblée de bonheur.
Va mon coeur lui compter mes maux, car sans écho
Sont mes cris, mes appels sont vains, en sanglots.
Va lui dire ainsi comme je voudrais lui pleurer:
<< Maudits soient cet océan, ses vagues, ses marées!
Ceux-là qui nous dépassent , ô ma perle perdue!
Mon unique trésor! ô ma paix suspendue!>>