Dimanche coule lentement
Le long de sa morne vie
Tout habillé de ce temps
Mort le dimanche s’ennuie
Dans les rues désertes il tisse
Le drap blanc de son chagrin
Le linceul de son supplice
Jusqu’au tout petit matin
Alors s’estompe la flamme
Joyeuse matin allumée
Chant d'un espoir enflammé
Pour que dimanche et son âme
Reviennent en nouvel espoir
D’un grand amour embrassé
Auquel il puisse enfin croire
Pour en être bouleversé
Le long de sa morne vie
Tout habillé de ce temps
Mort le dimanche s’ennuie
Dans les rues désertes il tisse
Le drap blanc de son chagrin
Le linceul de son supplice
Jusqu’au tout petit matin
Alors s’estompe la flamme
Joyeuse matin allumée
Chant d'un espoir enflammé
Pour que dimanche et son âme
Reviennent en nouvel espoir
D’un grand amour embrassé
Auquel il puisse enfin croire
Pour en être bouleversé