Voici les roses matinales
Qui essaient en vain de me faire rire.
Mais reste ancré en moi, un certain, mal !
Plus rien ne me fais sourire.
Je cherche l'endroit où tu loges,
Mais je ne trouve que tu vide, du désespoir.
Pour que tu reviennes, je te fais des éloges,
Mais il est trop tard, je vois déjà tomber le soir.
J'ai souris, j'ai ris, j'ai appris, j'ai muris,
Puis j'ai plonger, dans le noir, la peur, le deuil...
Le temps passe, la vie change, mais tout reste pourris,
Mais j'observe tout, du coin de l'œil.
Désormais je suis seule, dans mon lit
Et je pense à toi, celle qui me mutile.
Pourquoi t'ai tu enlevée la vie ?
Maintenant je erre dans cette ville,
Une ville que je ne connait point,
Un endroit désert, sans celle que j'aimais.
Et chaque jour tu t'en vas un peu plus loin,
Mais il faut que je fasse mon adieu, car je ne te reverrais jamais.
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