Pitié, mes amis, pitié!
Vous qui me reprochez
de vous fuir,
de ne plus vous ouvrir
sans honte mon coeur.
J'ai bien trop peur
de vous nuire.
Je ne veux pas vous faire subir
les souffrances de mon coeur,
le lent trépas de mon corps.
Je ne veux point vous affoler
d'encore lointain décès.
Je souhaite que cette maladie
ne soit que mon souci.
Mon secret ainsi bien gardé
vous pourrez vivre en paix
sans nullement vous soucier
de mon état de santé.
Vous qui me reprochez
de vous fuir,
de ne plus vous ouvrir
sans honte mon coeur.
J'ai bien trop peur
de vous nuire.
Je ne veux pas vous faire subir
les souffrances de mon coeur,
le lent trépas de mon corps.
Je ne veux point vous affoler
d'encore lointain décès.
Je souhaite que cette maladie
ne soit que mon souci.
Mon secret ainsi bien gardé
vous pourrez vivre en paix
sans nullement vous soucier
de mon état de santé.