Le mai de cette année en huitRessemble trait pour traitAu très ancien de celle en sixIl faisait beau et au dehorsL'oiseau rieur chantaitPosé tout près sur le rebordJe m'attardais à l'époqueErrant sur mon clavierPosant des mots et des notesO ! temps qui boucle sur toi mêmeApporte moi de quoi chanterL'année en neuf pour que je t'aime

Médiocrités ordinaires
J'ai senti le vent froid,Sur le pli de mes doigts.J'ai attrapé l'azur,Non, ce n'est pas très dur.Je regarde tes yeux,Loins de mon coeur en feu.Je pleure de ta joie,Qui exulte sans moi.Le fond de mon coeur las,Je reste sans émoi.Cinq points et cinq virgules, pour exprimer encore, ce que les heures qui passent tracent sur mon corps.Cinq poin...
Ecrasante aube naissanteSur le toit des penséesAux lueurs apaisantesGriffantes ma vie passée
Petite épine sur le bois sèché de la tige d'une ancienne rose. Ce morceau de passé était une fleur, cela me fait quelque chose... Je regarde au dehors en ce matin de Soleil. Le décor ne change pas. Le tumulte est en moi, je sors, le bout de bois en main. Quelques pas cadencés sur la terre du chemin et mes empreintes moulées dans le sol meuble, comme u...
Souris, lacape, Paname, Oghamm, Bibi et les autres...
Posté par Kelton,
23 avril 2008
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Pourtour de vert et au centre du gris. Le gris des mots coulés sur une pierre, gravés, mais laminés par la pluie. O Poètes, quand vous passez ici, vous attrapez mon âme comme on photographie un oiseau sauvage. Vous voyez les moindres couleurs, vous dissociez sentiments et bavardages. Narcisse agonissant suppliant vos regards, je cherche toujours à cacher...