Sur les années qui sont passées et dans un feu
A l'ombre des songes sombres et aux regrets,
Sur l'éternité ellimée et comme un jeu,
A la pénombre le nombre et le secret.
L'évanoui moment des instants de la vie,
Transcrit encore le temps et les bleus raccourcis.
Infinie insolence sur le palais des dieux,
Egérie en souffrance pour qui naît et pas mieux.
Sur les espoirs déçus et dans le flot des cris,
A l'avenir blanchi et aux pas inutiles.
Sur les miroirs têtus et aux maux interdits,
A l'écrire et pas plus et à moi si futile.
A l'ombre des songes sombres et aux regrets,
Sur l'éternité ellimée et comme un jeu,
A la pénombre le nombre et le secret.
L'évanoui moment des instants de la vie,
Transcrit encore le temps et les bleus raccourcis.
Infinie insolence sur le palais des dieux,
Egérie en souffrance pour qui naît et pas mieux.
Sur les espoirs déçus et dans le flot des cris,
A l'avenir blanchi et aux pas inutiles.
Sur les miroirs têtus et aux maux interdits,
A l'écrire et pas plus et à moi si futile.