*
La fraîcheur de la nuit
Ne peut étreindre
La lumière qui nous lie
La mort à jamais obscure
Ne saurait contraindre
l'élan de joie pure
déchirer l'image qui vous happe
Et survoler la déroute
La faille par où l'esprit s'échappe
Est sans doute
Enfant terne d'occident
Il faut quitter la mesure
Et fils de l'instant
Filer droit dans l'azur
A l'heure du dernier avertissement
Nous dansons dans l'imaginal.
*
Source: Automne Deux mille onze
La fraîcheur de la nuit
Ne peut étreindre
La lumière qui nous lie
La mort à jamais obscure
Ne saurait contraindre
l'élan de joie pure
déchirer l'image qui vous happe
Et survoler la déroute
La faille par où l'esprit s'échappe
Est sans doute
Enfant terne d'occident
Il faut quitter la mesure
Et fils de l'instant
Filer droit dans l'azur
A l'heure du dernier avertissement
Nous dansons dans l'imaginal.
*
Source: Automne Deux mille onze
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MÊME CHOSE
Touché par la lumière
le quartz se fait cascade.
Sur ses eaux flotte, enfant, le dieu.
Octavio Paz (OC11 139)
Clameur de l'indicible bouleversant.
Poésie suprasensible.
Merci captaim
hasia