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Liste De Citations De Jean De La Fontaine



Aide-toi, le ciel t'aidera.



Aimez, aimez, tout le reste n'est rien.



Ainsi certaines gens, faisant les empressĂ©s, s'introduisent dans les affaires: ils font partout nĂ©cessaires, et, partout importuns, devraient ĂȘtre chassĂ©s.



Alléguer l'impossible aux rois, c'est un abus.



Amour, amour, quand tu nous tiens,
On peut bien dire: «Adieu, prudence!»



Apprenez que tout flatteur
Vit aux dépens de celui qui l'écoute.



Approche-t-il du but, quitte-t-il ce séjour,
Rien ne trouble sa fin: c'est le soir d'un beau jour.



Aucun chemin de fleurs ne conduit Ă  la gloire.



Belle tĂȘte, dit-il, mais de cervelle point.



Bergers, bergers, le loup n'a tort
Que quand il n'est pas le plus fort!



Car que faire en un gĂźte, Ă  moins que l'on ne songe?



Ce bloc enfariné ne me dit rien qui vaille,
S'écria-t-il de loin au général des chats.



Ce qu'on donne aux méchants, toujours on le regrette ...
Laissez-leur prendre un pied chez vous,
Ils en auront bientĂŽt pris quatre.



Ceci s'adresse Ă  vous, esprits du dernier ordre,
qui n'étant bons à rien cherchez surtout à mordre.



Celui de qui la tĂȘte au ciel Ă©tait voisine
Et dont les pieds touchaient Ă  l'empire des morts.



Chacun se dit ami; mais fou qui s'y repose:
Rien n'est plus commun que ce nom,
Rien n'est plus rare que la chose.



Contre de telles gens, quant à moi, je réclame.
Ils ĂŽtent Ă  nos coeurs le principal ressort;
Ils font cesser de vivre avant que l'on soit mort.



De loin c'est quelque chose, et de prĂšs ce n'est rien.



Deux coqs vivaient en paix: une poule survint,
Et voilà la guerre allumée.



Deux pigeons s'aimaient d'amour tendre.



Deux sûretés valent mieux qu'une, et le trop en cela ne fut jamais perdu.



En toute chose il faut considérer la fin.



Et chacun croit fort aisément
Ce qu'il craint et ce qu'il désire.



Et, si de t'agréer je n'emporte le prix,
J'aurai du moins l'honneur de l'avoir entrepris.



Garde-toi, tant que tu vivras
De juger des gens sur la mine.



Gardez-vous de rien dédaigner; surtout quand vous avez à peu prÚs votre compte.



Hélas! on voit que de tout temps
Les petits ont pĂąti des sottises des grands.



Hélas! que sert la bonne chÚre quand on n'a pas la liberté?



Il accusait toujours les miroirs d'ĂȘtre faux.



Il avait du bon sens; le reste vient ensuite.



Il connaĂźt l'univers et ne se connaĂźt pas.



Il est assez puni par son sort rigoureux;
Et c'est ĂȘtre innocent que d'ĂȘtre malheureux.



Il faut, autant qu'on peut, obliger tout le monde:
On a souvent besoin d'un plus petit que soi.



Il lit au front de ceux qu'un vain luxe environne
Que la Fortune vend ce qu'on croit qu'elle donne.



Il me faut du nouveau, n'en fût-il point au monde.



Il ne faut jamais vendre la peau de l'Ours qu'on ne l'ait mis par terre.



Il ne faut point juger des gens sur l'apparence.



Il ne se faut jamais moquer des misĂ©rables: car qui peut s'assurer d'ĂȘtre toujours heureux?



Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés.



Imprudence, babil, et sotte vanité, et vaine curiosité, ont ensemble étroit parentage. Ce sont enfants tous d'un lignage.



Je le répÚte, et dis, vaille que vaille,
Le monde n'est que franche moutonnaille.



Je me sers d'animaux pour instruire les hommes.



Je n'appelle pas gaietĂ© ce qui excite le rire, mais un certain charme, un air agrĂ©able qu'on peut donner Ă  toutes sortes de sujets, mĂȘme les plus sĂ©rieux.



Je plie, et ne romps pas.



Je suis chose légÚre et vole à tout sujet;
Je vais de fleur en fleur, et d'objet en objet.



L'absence est aussi bien un remĂšde Ă  la haine
Qu'un appareil contre l'amour.



L'absence est le plus grand des maux.



L'homme est de glace aux vérités,
Il est de feu pour les mensonges.



L'univers leur sait gré du mal qu'ils ne font pas.



L'usage seulement fait la possession.



La fourmi n'est pas prĂȘteuse:
C'est là son moindre défaut.



La jeunesse se flatte, et croit tout obtenir:
La vieillesse est impitoyable.



La mort ne surprend point le sage:
Il est toujours prĂȘt Ă  partir.



La raison du plus fort est toujours la meilleure.



La ruse la mieux ourdie peut nuire Ă  son inventeur; et souvent la perfidie retourne sur son auteur.



Le bien, nous le faisons; le mal, c'est la Fortune;
On a toujours raison, le Destin toujours tort.



Le trop d'attention qu'on a pour le danger fait le plus souvent qu'on y tombe.



Les délicats sont malheureux,
Rien ne saurait les satisfaire.



Les plus accommodants ce sont les plus habiles: on hasarde de perdre en voulant trop gagner.



Mieux vaut goujat debout qu'empereur enterré.



Ne faut-il que délibérer? La cour en conseillers foisonne:
Est-il besoin d'exécuter? L'on ne rencontre plus personne.



Ne forçons point notre talent;
Nous ne ferions rien avec grĂące.



Ne nous associons qu'avec nos égaux.



Ni l'or ni la grandeur ne nous rendent heureux.



Nous faisons cas du beau, nous méprisons l'utile; et le beau souvent nous détruit.



Nous n'écoutons d'instincts que ceux qui sont les nÎtres,
Et ne croyons le mal que quand il est venu.



Nous ne croyons le mal que quand il est venu.



Nous nous pardonnons tout, et rien aux autres hommes.



On a souvent besoin d’un plus petit que soi.



On ne peut trop louer trois sortes de personnes:
Les dieux, sa maĂźtresse, et son roi.



On perd du temps au choix, on tente, on veut tout faire.
N'en ayons qu'un, mais qu'il soit bon.



On rencontre sa destinée
Souvent par des chemins qu'on prend pour l'éviter.



Patience et longueur de temps
Font plus que force ni que rage.



Petit poisson deviendra grand,
Pourvu que Dieu lui prĂȘte vie.



PlutĂŽt souffrir que mourir,
C'est la devise des hommes.



Quand le moment viendra d'aller trouver les morts,
J'aurai vécu sans soins, et mourrai sans remords.



Quiconque a beaucoup vu peut avoir beaucoup retenu.



Quittez le long espoir et les vastes pensées.



Rien n'est si dangereux qu'un ignorant ami;
Mieux vaudrait un sage ennemi.



Rien ne sert de courir; il faut partir Ă  point.



Sans mentir, si votre ramage
Se rapporte Ă  votre plumage,
Vous ĂȘtes le phĂ©nix des hĂŽtes de ces bois.



Selon que vous serez puissant ou misérable,
Les jugements de cour vous rendront blanc ou noir.



Si ce n'est toi, c'est donc ton frĂšre.



Sur les ailes du Temps, la tristesse s'envole.



Tous les mangeurs de gens ne sont pas grands seigneurs;
OĂč la guĂȘpe a passĂ©, le moucheron demeure.



Tout flatteur vit aux dĂ©pens de celui qui l’écoute.



Toute puissance est faible Ă  moins que d'ĂȘtre unie.



Un tien vaut, ce dit-on, mieux que deux tu l'auras: l'un est sûr, l'autre ne l'est pas.



Ventre affamé n'a point d'oreilles.



Vous chantiez? j'en suis fort aise:
Eh bien! dansez maintenant.



Vous savez que nul n'est prophĂšte en son pays: cherchons notre aventure ailleurs.
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