Platesbandes d'amarantes jusqu'à L'agréable palais de Jupiter. Je sais que c'est Toi qui, dans ces lieux, Mêles ton bleu presque de Sahara !
Puis, comme rose et sapin du soleil Et liane ont ici leurs jeux enclos, Cage de la petite veuve !... Quelles Troupes d'oiseaux, ô ia io, ia io !...
Calmes maisons, anciennes passions ! Kiosque de la Folle par affection. Après les fesses des rosiers, balcon Ombreux et très bas de la Juliette.
La Juliette, ça rappelle l'Henriette, Charmante station du chemin de fer, Au coeur d'un mont, comme au fond d'un verger Où mille diables bleus dansent dans l'air !
Banc vert où chante au paradis d'orage, Sur la guitare, la blanche Irlandaise. Puis, de la salle à manger guyanaise, Bavardage des enfants et des cages.
Fenêtre du duc qui fais que je pense Au poison des escargots et du buis Qui dort icibas au soleil. Et puis C'est trop beau ! trop ! Gardons notre silence.
Boulevard sans mouvement ni commerce, Muet, tout drame et toute comédie, Réunion des scènes infinie Je te connais et t'admire en silence.
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