|
Ces roses pour moi destinées Par le choix de sa main, Aux premiers feux du lendemain, Elles étaient fanées.
Avec les heures, un à un, Dans la vasque de cuivre, Leur calice tinte et délivre Une âme à leur parfum
Liée, entre tant, ô Ménesse, Qu'à travers vos ébats, J'écoute résonner tout bas Le glas de ma jeunesse.
Contrerimes
|
Voir tous les poèmes de PAUL-JEAN TOULET
0 commentaire(s)