Ha Dieu ! que j'ai de bien alors que je baisotte Ma jeune folion dedans un riche lit Ha Dieu ! que j'ai de bien en ce plaisant conflit, Perdant mon plus beau sang par une douce flotte.
Ha Dieu ! que j'ai de bien lorsque je la mignotte, Lorsque je la chatouille, et lorsqu'elle me rit. Ha Dieu ! que j'ai de bien quand j'entends qu'elle dit D'une soufflante voix : ' Mon mignon, je suis morte ! '
Et quand je n'en puis plus, ha Dieu ! que j'ai de bien De faire la moquette en m'ébattant pour rien. Ha Dieu ! que j'ai de bien de pinçotter sa cuisse,
De lécher son beau sein, de mordre son tétault, Ha Dieu ! que j'ai de bien en ce doux exercice, Maniant l'honneur blond de son petit tonneau.
0 commentaire(s)