L'auraije exprimé, avant de m'en aller, ce coeur qui, tourmenté, consent à être ? Étonnement sans fin, qui fus mon maître, jusqu'à la fin t'auraije imité ?
Mais tout surpasse comme un jour d'été le tendre geste qui trop tard admire ; dans nos paroles écloses, qui respire le pur parfum d'identité ?
Et cette belle qui s'en va, comment la feraiton passer par une image ? Son doux ruban flottant vit davantage que cette ligne qui s'éprend.
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