le blé des corps dans la meule des ans...
Poème de LORAND GASPAR
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le blé des corps dans la meule des ans
farines que mélangent les lois éternelles pour d'autres pains et d'autres dents la nuit tu tâtes soudain sans comprendre la peur qui fouille au ventre des images cherchant à clore sur soi le mouvement et ces eaux nues de l'ardeur d'aller encore et encore plus loin dans l'ouvert? (et même et surtout quand la nuit se referme) Patmos et autres poèmes, Gallimard |
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