Arbres hospitaliers ! prêtezleur vos ombrages ; Sur eux avec amour penchez vos bras amis : Non, par moi vos secrets ne seront point trahis. Et seule, chaque jour, rêvant dans ces bocages, Je viendrai visiter sous vos légers feuillages, L'asile où j'ai compté quatre faibles petits.
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