|
En été les lis et les roses Jalousaient ses tons et ses poses,
La nuit, par l'odeur des tilleuls Nous nous en sommes allés seuls.
L'odeur de son corps, sur la mousse, Est plus enivrante et plus douce.
En revenant le long des blés, Nous étions tous deux bien troublés.
Comme les blés que le vent frôle, Elle ployait sur mon épaule.
Le coffret de santal
|
Voir tous les poèmes de CHARLES CROS
0 commentaire(s)