|
Les rues et les verres vides La grande fraîcheur des mains Rien de cassé Rien de sali Rien d'inhumain
Cordialement bonjour, bonsoir Je suis paresseux tu vois En bonne santé
A la santé du paysage L'amateur de rues aérées Si vous voulez que je vous aime Ouvrez des mains immaculées
Je ne suis pas désaltéré.
Recueil : Le promeneur
|
Voir tous les poèmes de ODILON-JEAN PÉRIER
0 commentaire(s)