|
Ô bonheur de l'été : le carillon tinte puisque dimanche est en vue ; et la chaleur qui travaille sent l'absinthe autour de la vigne crépue.
Même à la forte torpeur les ondes alertes courent le long du chemin. Dans cette franche contrée, aux forces ouvertes, comme le dimanche est certain !
Les quatrains valaisans
|
Voir tous les poèmes de RAINER MARIA RILKE
0 commentaire(s)