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Or voici que verdoie un hameau sur les côtes Plein de houx, orgueilleux de ses misères hautes.
  Des bergers s'étonnant contemplent dans la plaine, Et mon cheval qui sue à la hauteur se traîne.
  Pour y vivre l'Octobre et ses paix pastorales Je vous apporte, ô Pan, mes lyres vespérales.
  Les boeufs sont vite entrés. Ils meuglent dans l'étable, Et la soupe qui fume a réjoui ma table.
  Que vous êtes heureux, hommes bons des campagnes, Loin du faubourg qui pue et des clameurs de bagnes.
  Je vous bénis. Que la joie habite à vos portes, En campagne, ô ces soirs de primes feuilles mortes ! 
 Motifs poétiques
 
 
 
 
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