Créer un thème personnalisé
0
Crépuscule
Je lève mes yeux baignés de larmes fictives au ciel, alors que je me languis de te voir.
Je perds les notions de date, de souvenirs, de pensées tout simplement, devant le spectacle qui s'offre à mes yeux, et aux tiens par-delà l'horizon.
Je me sens vouloir pleurer mais je me sais trop fort dans mon désir d'autrefois, un désir d'éternelle sécheresse acquis dans les affres de la souffrance. Un désir stupide. Pour une fois que stupidité ne rime pas avec humanité …
Le jour se couche, et la nuit s'envole …
Les nuages vermeils étouffent les derniers rayons du soleil. Leurs étreintes immortelles serrant chaque minute, un peu plus, de leurs ombres les paysage d'ivoire.
Les derniers rayons de l'astre éclatent ; une sensation chaude prends mon cœur entre ses bras fragiles …
Tentant vainement d'épancher encore et encore leurs lueurs chaudes, les épées de lumière s'accroche. A l'immuable. Et tombent, finalement.
Alors que les nuages vermeils naissaient pour une existence éphémère, les larmes de la Lune prenaient la place des valses et des chants.
C'est finit. Je pense déjà à toi, de nouveau …
Et mon regard voit la neige, les azurs d'ivoire, et finissent par s'envoler de nouveau, à la chasse de ses paysages éternellement beaux.
La neige pure est la piste d'envol des anges, chassés par la brume épaisse de l'obscurité contre laquelle leurs pouvoirs sont vulnérables. Ces mêmes ténèbres qui caressent la douceur qu'ils aimeraient voir succomber, avec dans leurs yeux une ironie méphistophélique.
Les horizons neigeux se peignent d'ombre sous un ciel vermeilleux.
Les anges s'envolent, à la recherche de ce qui est sous leurs nez : le merveilleux.
Les plaines célestes de sang s'inondent des larmes de la Lune.
Crépuscule …
Je perds les notions de date, de souvenirs, de pensées tout simplement, devant le spectacle qui s'offre à mes yeux, et aux tiens par-delà l'horizon.
Je me sens vouloir pleurer mais je me sais trop fort dans mon désir d'autrefois, un désir d'éternelle sécheresse acquis dans les affres de la souffrance. Un désir stupide. Pour une fois que stupidité ne rime pas avec humanité …
Le jour se couche, et la nuit s'envole …
Les nuages vermeils étouffent les derniers rayons du soleil. Leurs étreintes immortelles serrant chaque minute, un peu plus, de leurs ombres les paysage d'ivoire.
Les derniers rayons de l'astre éclatent ; une sensation chaude prends mon cœur entre ses bras fragiles …
Tentant vainement d'épancher encore et encore leurs lueurs chaudes, les épées de lumière s'accroche. A l'immuable. Et tombent, finalement.
Alors que les nuages vermeils naissaient pour une existence éphémère, les larmes de la Lune prenaient la place des valses et des chants.
C'est finit. Je pense déjà à toi, de nouveau …
Et mon regard voit la neige, les azurs d'ivoire, et finissent par s'envoler de nouveau, à la chasse de ses paysages éternellement beaux.
La neige pure est la piste d'envol des anges, chassés par la brume épaisse de l'obscurité contre laquelle leurs pouvoirs sont vulnérables. Ces mêmes ténèbres qui caressent la douceur qu'ils aimeraient voir succomber, avec dans leurs yeux une ironie méphistophélique.
Les horizons neigeux se peignent d'ombre sous un ciel vermeilleux.
Les anges s'envolent, à la recherche de ce qui est sous leurs nez : le merveilleux.
Les plaines célestes de sang s'inondent des larmes de la Lune.
Crépuscule …
By Belou
